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- La MEL vote son Plan Climat Air Energie Territorial
Les récents épisodes caniculaires en 2018 et 2019, ainsi que l’état de sécheresse prolongé du département du Nord en 2019, attestent de la réalité des impacts du réchauffement climatique sur le territoire métropolitain.
A travers son Plan Climat Air Energie Territorial (PCAET), la MEL apporte une première réponse aux habitants du territoire, en se dotant des moyens nécessaires pour favoriser la capacité d’anticiper, de réagir et de s’adapter face aux perturbations climatiques de plus en plus fréquentes.
Vers un budget climatique
L’un des principaux leviers de la MEL est la mise en place d’un budget climatique. Dès 2021, le budget métropolitain intégrera une prise en compte de l’empreinte carbone de ses investissements et dépenses. Avant chaque décision, la MEL évaluera la capacité de ses projets et politiques publiques à contribuer aux enjeux du PCAET, ainsi qu'à la réduction de l'empreinte carbone de l'ensemble de ses politiques.
Concrètement, un indicateur viendra évaluer l’impact des dépenses de la MEL sur le climat selon quatre niveaux : « favorables à l’atteinte des objectifs pour le climat sur le long terme », « favorables », « neutres », ou « nécessitant des axes de progrès pour l’atteinte des objectifs pour le climat ».
Des politiques métropolitaines exemplaires
La MEL s’appuiera également sur ses nombreuses compétences, qui ont toutes un impact potentiel sur le climat : aménagement, urbanisme, développement économique, mobilité, habitat, gestion du cycle de l’eau, qualité de l’air, gestion du système énergétique…
A titre d’exemples, les investissements dans la réhabilitation énergétique des logements et des bâtiments publics, le développement des infrastructures de transport en commun, la récupération de l’énergie produite par le monde agricole au travers de l’installation d’unités de méthanisation ou encore l’autoroute de la chaleur.
Mais aussi l’accompagnement des changements de comportements, avec des dispositifs comme « Famille zéro déchet » ou « Famille à énergies positives », participent également de cette dynamique.
Les objectifs du Plan Climat Air Energie Territorial
Energie et gaz à effet de serre
- Gaz à effets de serre : -45% en 2030, neutralité carbone en 2050
- Consommations d’énergie : -16% en 2030 par rapport à 2016
- Production locale d’énergies renouvelables : x 2,3 entre 2016 et 2030 (de 1TWh à 2,3 TWh)
- Accroître la capacité de séquestration carbone en développant les boisements et espaces naturels
Qualité de l’air
- Réduire les émissions de polluants atmosphériques notamment dans les secteurs du transport routier (44%), de l’industrie (36%), du résidentiel (36%) et du tertiaire (38%)
- Réduire de 45% les émissions d’oxydes d’azote, 42% les émissions de particules fines et 34% les émissions de composés organiques volatils (PM10 et PM2,5)
- Réduire les émissions d’ammoniac dans le secteur de l’agriculture
Adaptation au changement climatique
- Améliorer la connaissance et la gestion des risques associés au changement climatique (pics de chaleur, inondations, retrait-gonflement des argiles…)
- Préserver la ressource en eau, en qualité et en quantité
- Atténuer les effets des épisodes caniculaires et des ilots de chaleur urbains, en réintroduisant la nature et l’eau dans les milieux urbanisés et en développement le boisement